« Le Corps des larmes » Le livre d’Olivier Grignon est un livre important qui mérite qu’on s’y attarde. Un ouvrage complexe qui parcourt tous les champs de la psychanalyse, la psychanalyse freudienne relue par Lacan. Olivier Grignon témoigne de sa maîtrise de
Quelle réalité de Jacques LACAN chez les freudiens « orthodoxes » de la SPP ? Certainement pas celle que les Lacaniens imaginent ! « A propos du maniement, par le psychanalyste, d’un signifiant, comme « clef pulsionnelle » : ça ouvre des registres pulsionnels qui étaient, jusqu’alors, réprimes ». « De
« La frontière invisible » violence de l’immigration est un livre important qui témoigne d’un parcours, celui d’une femme psychanalyste avec ses passions, ses indignations et ses engagements. Alice Cherki est une combattante. Les bruits de la rue, les bouleversements du monde, le
Sortir de l’assujettissement à ce que vous appelez « la loi de la mère », c’est-à-dire ce qui des mots chargés de plaisir et de souffrance, lesquels s‘impriment dans l’inconscient de l’enfant, viennent alors modeler symptômes et fantasmes, équivoques langagières, équivoques de
Je suis née apatride en Italie, de parents d’origine hongroise de Transylvanie, rescapés de la Shoah. Depuis ma naissance, j’ai été leur psychanalyste et leur interprète. Plongée dans un babel sonore de langues qui ne m’étaient pas adressées, hongrois, roumain,
Répondre aux détracteurs de la psychanalyse qui mettent en cause sa pertinence, son efficacité, sa validité scientifique, voilà à quoi vous vous coltinez ! Trois champs de critique essentiels et actuels : Critiques de sa validité scientifique sur le modèle des sciences
Jean-Pierre Winter METAMORPHOSE DE L’HOMOPARENTALITE « Effacer les différence des sexes et la filiation en légalisant l’homoparentalité », c’est par ces propos sans équivoque que Jean-Pierre Winter conclut son dernier livre « Homoparenté », à la fois une enquête et un réquisitoire. L’ouvrage pourtant s’ouvre sur
« I am finished. »disait Ingrid Bergman épuisée près du cratère du Stromboli, dans le film de Rossellini qui porte le même nom. « Abîmes ordinaires » n’est pas un roman, n’est pas un essai. Est-ce un nouveau genre littéraire ?… » je me réclame plutôt