L’Invité : mardi 11 janvier 2005

En préambule, je voudrais raconter un épisode clinique qui m’est  « arrivé  » – en tant qu’analyste – il y a déjà quelques années. Cette jeune femme, traitée de/comme psychotique me raconte, suite à une longue absence sans nouvelle, son entrée en clinique

L’Invité : mardi 11 octobre 2005

  Dans ce livre de Francis Hofstein, pas de nœud ni de tore ni de schéma optique, très peu de référence directe aux concepts théoriques de la psychanalyse. Un souci de « lisibilité » caractérise l’écriture de ce livre. Il s’adresse, au-delà du cénacle

L’Invité 10 mai 2011

Point de résumé de ce livre mais quelques lucioles peut-être, repérées ça et là, pourraient en baliser le chemin? Non qu’il n’y soit repérable un fil, et même de ceux auquel facilement on s’accroche, de concerner la sublime question de la fin

L’Invité : 8 décembre 2009

UN LIVRE POLEMIQUE De cette polémique même dont Lacan donna repère à dire que «les psychanalystes de deuxième et troisième génération (et les suivants …) se sont employés à suturer cette béance constitutive du sujet en la psychologisant». Et I. Mangou veut

L’Invité : mardi 14 novembre 2006

            J’ai eu un intérêt particulier à lire ce livre. Il m’a remis en mémoire un de vos textes que je suis allé rechercher dans les « Lettres de l’Ecole » 1979. Vous lui avez donné pour titre « Tantale

L’Invité du 8 mai 2012 – Jean-Michel Vives pour

Jean Michel Vives est psychanalyste, professeur à l’université de Nice. Dans la postface de ce livre, Alain Didier Weill nous apprend que l’auteur de « la voix sur le divan » a une pratique du chant et de la mise en scène d’opéra. Son

L’Invité mardi 12 décembre 2006

        Francis Cohen : J’ai beaucoup de plaisir à vous présenter… « La vie parfaite c’est un très beau livre « , je le dis tout à fait sincèrement. Nous présentons au cours de l’année des ouvrages qui nous ont plu, qui

L’Invité : mardi 10 octobre 2006

        PARADOXE(S) DE LA JALOUSIE S’il était possible de rendre compte de ce livre par un seul mot, ce serait le mot paradoxe. C’est un mot souvent rencontré dans ce texte, mais qui, depuis son titre, souligne surtout et