Bienvenu Nazir Hamad, J’ai eu d’emblée, avant même d’avoir lu tout votre livre, le désir d’en faire l’objet d’une soirée du Salon et je suis contente que nous ayons pu ensemble avec mes collègues du groupe de préparation le retenir. Affinité
Michèle Montrelay LALANGUE ET L’OMBRE L’AMOUR DE LA LANGUE Il convient bien aux « éditions des crépuscules » de publier La portée de l’ombre. La polysémie du titre, discrète, fait d’entrée jouer les mots, elle oppose d’emblée l’ombre impalpable et familière à sa portée
Votre invitation a un genre radical : « Il s’agirait de reconnaître la possibilité de notre propre grain de folie » et « de rester ouvert à la question de la folie » Je souhaite présenter les enjeux de votre livre. Votre livre, admirablement articulé, est
Sydney Levy Nous avons toujours cherché le point d’origine de l’humanisation de l’homme. Cet homme vertical qui pour Freud (voir Malaise dans la culture) se décide à la marche verticale, mouvement ouvrant à la civilisation, figure de la famille primitive. Votre souci
La rencontre avec Henrik Ibsen s’est produite, pour Françoise Decant, à la suite d’une représentation théâtrale d’Hedda Gabler, en 1990. Elle mène depuis un travail considérable sur l’ensemble de cette œuvre, dont ce livre est le fruit. Elle nous fait